Le candidat Benoit Hamon suggère d’affecter un revenu d’existence de six cent cinquante euros par mois sans condition, notamment de revenu, graduellement à l’ensemble de la communauté. Son prix annuel à terme atteindrait 700 Mrds d’euros, ce qui représente la moitié des charges d’Etat. Le revenu fût suggéré par des fonctionnaires que beaucoup qualifieraient de libéraux, fréquemment en l’accolant à une taxe corrélatif au patrimoine global pour le verser. Une contribution sociale généralisée au taux de 37 % pourrait en conséquence régler une charge de 600 milliards d’euros. Ce système, salaire d’existence et une charge proportionnel, assurerait, suivant ses promoteurs, un standing de vie plancher à chaque Français également en l’exhortant à bosser davantage que dans la méthode en vigueur. En effet, chaque euro complémentaire remporté par son effort lui attribuerait 0,62 euros après imposition alors que, maintenant, il emporte en net simplement 0.45 € généralement, parce qu’il sent réduire ses contributions sociales et empirer ses impositions et cotisations sociales. Pour les spécialistes, ce revenu commuterait la plupart des fournitures sociales et des services publics dont l’emploi est individualisable. Chacun obtiendrait le minimum vital pour exister, l’augmenterait par une activité professionnelle, le dépenserait pour des prestations de son choix et se barderait individuellement contre les risques, dont les courants risques de santé. Le total des provisions sociales approchant pratiquement 600 Mrds d’euros, le revenu universel n’accroîtrait de ce fait pas les dépenses d’Etat et saurait être réglé sans rehausser les charges obligatoires. Il faudrait cependant transformer une partie d’entre eux, surtout les cotisations, par une charge sociale à 38.5 %. Le pays renoncerait à intercéder pour proposer des services aux communautés. Les conclusions de l’instauration d’un salaire d’existence sur la compétitivité des entreprises, l’attractivité du lieu, l’engagement et l’emploi, ou encore la fraude fiscale et administrative, seraient effroyables. Ce n’est incontestablement pas la vision du candidat socialiste, qui n’a pas confirmé l’annulation de fonctions de l’Etat. Il est possible de toutefois deviner que le revenu universel remplacerait les minima sociaux (soit 28 Milliards €) et les compensations familiales (10 Milliards Euros), chaque enfant y cédant droit, cependant ces réductions de dépenses ne changeraient pas la source du problème : il faudrait augmenter les impôts obligatoires d’environ 545 milliards Euros, soit de 53.5 %. Les conséquences de la création d’un « revenu universel d’existence » sur la compétitivité des entreprises économiques, l’attractivité du territoire, le financement et l’responsabilité, ou aussi la fraude fiscale et administrative, deviendraient effroyables.

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