C’est presque par hasard, au détour d’une promenade sur les îles grecques du Dodécanèse, que le photographe François Halard découvre, perdue au milieu des pins, la cité abandonnée de Campochiaro, rebaptisée Eleousa. Un village fantôme, témoin de la volonté du dictateur Benito Mussolini d’italianiser la région dans les années 1930.