Structures occidentales, histoire de l’architecture occidentale des anciennes cultures méditerranéennes à nos jours. Le passé historique de l’architecture occidentale est marqué par une série de nouvelles réponses aux questions architecturales. Tout au long de la période depuis le début de la société via la tradition grecque antique, les méthodes de construction ont évolué depuis votre toit en appentis le plus primitif et votre simple ferme jusqu’aux poteaux droits, ou colonnes, supportant des poutres latérales ou des linteaux (voir poteaux et linteaux système). Les structures grecques anciennes ont également formalisé de nombreux éléments architecturaux et décoratifs en trois achats traditionnels – ionique, dorique et corinthien – qui, à un degré plus ou moins élevé, ont inspiré l’architecture de cette période. Les Romains ont exploité l’arc, la voûte et le dôme et ont fait un plus grand usage de la structure du mur porteur en maçonnerie. À la fin de la période médiévale, les systèmes d’arc brisé, de nervures et de piliers ont régulièrement fait surface. À cette époque, tous les problèmes de la construction en briques et en pierre de taille ont été résolus et, dans le passé des développements ornementaux, de petites innovations ont été réalisées jusqu’à la révolution commerciale. Ce n’est qu’au XIXe siècle, avec l’introduction de la construction en métal coulé et en acier, qu’une toute nouvelle ère de conception a vu le jour et que des structures meilleures, plus grandes et plus légères sont devenues possibles. Avec les développements des technologies du 20ème siècle, de nouvelles techniques architecturales telles que le porte-à-faux ont obtenu une utilisation plus étendue. Au tournant du 21e siècle, les ordinateurs avaient encore amélioré la capacité des architectes à conceptualiser et à créer de nouveaux types. Aux fins de cet article, « l’architecture occidentale » désigne les structures dans les pays européens ainsi que dans les régions qui partagent une tradition culturelle occidentale. Par exemple, cet article parle des coutumes de conception antérieures dans des endroits comme l’Égypte, la Syrie, l’Asie petite, l’Afrique du Nord et Jérusalem, qui, à partir de l’époque hellénistique et romaine et continuant avec la période de l’Empire byzantin, étaient étroitement liées à l’architecture. avancées dans les pays européens. A partir du XVe siècle retardé, les styles architecturaux occidentaux se répandent vers les Amériques. L’architecture du nord des États-Unis est également traitée dans ce billet ; pour la gestion de l’architecture des États-Unis latino-américains, voir l’architecture latino-américaine. (Les coutumes architecturales américaines locales n’avaient généralement pas été affectées par l’influence européenne. Avant l’avènement étrusque, 100% voyage Rome était un petit conglomérat de villages. C’était sous les nouveaux experts que, selon la coutume, le tout premier grand public fonctionnait comme les murs du Capitole La pente ainsi que la Cloaca Maxima ont été construits. Des preuves considérables de la période étrusque dans l’arrière-plan de Rome sont venues à l’éclairage dans la région du Capitole. Qu’il y avait eu de riches tombeaux à Rome seulement ne peut pas être mis en doute, ils étaient très probablement beaucoup comme ceux trouvé dans la ville latine de Praeneste. En même temps, au début du VIe siècle avant JC, les Étrusques avaient inclus Fiesole et Volterra dans leurs limites nord et en même temps ont commencé à pousser vers le sud en Campanie. Capoue était devenue le principal étrusque arrangement dans cette région et Nola un autre ; une nécropole a été découverte dans la région de Salerne et des éléments étrusques dans les niveaux inférieurs à Herculanum et Pompéi. La région côtière était néanmoins, néanmoins, aux mains des Grecs. L’architecture romaine était presque aussi compliquée que l’Empire romain seul ; il a été influencé par une variété d’aspects géographiques, météorologiques, gouvernementaux, économiques, interpersonnels et sociaux. L’aspect cohérent à travers toutes les distinctions, le peuple romain possédait l’expertise et ressentait la nécessité de s’organiser dans des conditions grandes et compliquées – politiquement, architecturalement ou autrement. La connaissance contemporaine de l’architecture romaine provient principalement de l’existant et continue d’être dispersée dans toute la partie de l’empire. Certains sont bien conservés, ainsi que d’autres ne sont connus que par morceaux et aussi par restauration théorique. Une source supplémentaire d’informations est un énorme magasin de documents, tels que des dédicaces ainsi que d’autres inscriptions sur les fonctions publiques. Un livre sur l’architecture de l’architecte Vitruve, qui a vécu à l’époque du Christ, est particulièrement important. Sa réserve De architectura (vers 27 av. phase des structures romaines, pendant la durée du royaume.
Dernièrement, j’ai participé à un séminaire à Barcelone dont le thème était le problème délicat du climat. Et les prédictions étaient encore plus catastrophistes que ce qu’on laisse généralement entendre. Il est en effet prévu que le plan international sera en effet mis à mal par la propagation des dépendances énergétiques, et le fait d’avoir à faire face à l’entrée de nouveaux acteurs ne l’aidera pas. D’ici quelques années, l’accès à des sources d’énergie nouvelles va prendre de plus en plus d’importance pour pas mal de pays. La population poursuivra son déplacement vers les agglomérations dans l’espoir d’une meilleure sécurité individuelle. Beaucoup — notamment en Asie) rejoindront les classes moyennes et désireront adopter le mode de vie occidental, qui présume une plus forte consommation par habitant de toutes ces ressources. À la différence des périodes précédentes de grande pénurie, la domination exercé à l’heure actuelle des entreprises d’État sur le marché de l’énergie affaiblit les chances de voir les forces du marché ont beaucoup de mal corriger à elles seules les déséquilibres de l’offre et la demande. La pression ne fera que se renforcer en ce qui concerne les matières premières. Elle sera qui plus est aiguisée par le bouleversement du climat dont les conséquences deviendront de plus en plus évidentes. L’imposition de restrictions aux hydrocarbures sans que des solutions alternatives d’ici là afin de pourrait étouffer le développement économique. Côté climat, la réduction des chutes saisonnières de neige léseront l’agriculture de nombreuses régions du monde. La double dynamique de l’énergie et du climat aggrave également pas mal d’autres problèmes que sont les maladies et les déprédations agricoles dues aux nuisibles. Le plus grand danger a de bonnes chances de voir le jour avec la convergence de plusieurs problèmes simultanés. Cette convergence provoquerait des situations délicates et inhabituelles susceptibles de déborder les capacités d’intervention des décideurs. J’ai beaucoup apprécié ce meeting à Barcelone, autant pour les interventions que pour son organisation que j’ai trouvé assez remarquable. Voilà le lien versl’agence qui s’en est chargée, si ça vous intéresse.
L’impression tridimensionnelle aidera le secteur de la construction à devenir naturel du point de vue du carbone.
La construction conventionnelle est responsable de la production de 27 % du dioxyde de carbone mondial. Les techniques alternatives telles que l’édition 3D permettent de maintenir la garantie.
Le secteur de la construction est responsable de la production de 27 % des émissions de dioxyde de carbone dans le monde. Comment faire en sorte qu’il soit beaucoup plus durable ?
L’impression tridimensionnelle constitue un remède possible, mais elle ne pourra devenir vraiment durable que si les matériaux et les procédures sont également écologiques.
Pour progresser, il faudra une collaboration entre les organismes de réglementation et les chefs d’entreprise, qui devront s’engager régulièrement pour s’assurer que plusieurs normes sont à jour concernant l’utilisation de matériaux de construction alternatifs.
Le développement de nos maisons nuit à notre habitat. La construction conventionnelle génère 27 % du dioxyde de carbone mondial. Les méthodes alternatives, comme l’édition tridimensionnelle, gardent leur garantie, mais il y a du chemin à faire avant que la construction ne soit vraiment respectueuse de l’environnement.
L’édition tridimensionnelle est une activité qui est déjà durable à l’heure actuelle. La procédure produit une petite fraction des déchets de la fabrication de bâtiments conventionnels, simplement parce que les entrepreneurs impriment précisément et uniquement ce qu’ils veulent vraiment. Elle ne nécessite qu’une petite usine avec un minimum de place pour les composants de stockage, et contrairement à une chaîne de création traditionnelle, l’impression tridimensionnelle ne nécessite pas d’énergie pour manœuvrer les mêmes composants d’une étape à l’autre.
Néanmoins, certains constructeurs utilisant des procédés écologiques dépendent néanmoins de composants conventionnels, tels que le béton. Le ciment représente à lui seul 8 % des émissions mondiales de CO2, ce qui annule pratiquement tout effet positif sur l’environnement que peut avoir l’édition tridimensionnelle.
Les avantages des techniques de construction alternatives comme l’impression 3D sont clairs comme de l’eau de roche
Des composants durables sont déjà disponibles à l’heure actuelle. Par exemple, le composite polymère est aussi solide et durable que le ciment – la pierre artificielle mise au point par Mighty Buildings pèse environ 30 % de moins que le béton et sa résistance à la traction et à la flexion est cinq fois supérieure. Ces composants innovants peuvent être conservés sous forme liquide ou semi-liquide compacte dans des barils, ce qui permet de toujours limiter l’empreinte du fabricant. Les avantages écologiques se poursuivent lorsqu’un développement est imprimé, car le composite polymère est un isolant supérieur aux matériaux traditionnels, ce qui minimise les émissions de la maison pendant sa durée de vie, au fur et à mesure qu’elle est habitée et utilisée.
Malgré les avantages des techniques de construction alternatives utilisant des matériaux durables, leur utilisation généralisée exige néanmoins le soutien des autorités de réglementation, des clients et des constructeurs eux-mêmes.
L’augmentation du coût du logement faisant souvent la une des journaux, le prix est un obstacle à la demande généralisée des consommateurs pour des options de construction respectueuses de l’environnement. S’il est vrai que les logements de la nouvelle ère coûtent actuellement beaucoup plus cher que les constructions traditionnelles, au fur et à mesure que le niveau augmente et que la construction publiée en 3D continuera à devenir plus efficace, les prix baisseront, permis de construire d’un batiment industriel ce qui permettra de réaliser une économie d’échelle. En outre, les clients désireux d’investir durablement dans l’achat de leur maison bénéficieront d’avantages en termes de dépenses à long terme, car les maisons écologiques ont une valeur patrimoniale plus élevée, des coûts de services publics plus faibles à long terme et sont beaucoup plus résistantes aux conditions climatiques extrêmes et aux catastrophes naturelles.
Les clients étant de plus en plus nombreux à adopter la construction durable, les constructeurs devraient rendre les maisons imprimées en trois dimensions beaucoup plus accessibles et le feront probablement. Il s’agit toutefois d’un défi – de nombreux acteurs du marché représentant diverses catégories devraient être régulièrement impliqués dans la transformation du marché. Pour les entreprises de construction existantes dont les modèles commerciaux sont profondément ancrés, la transition vers un modèle plus écologique pourrait prendre des décennies, mais franchement, elles ne disposent pas de tout ce temps. La création de béton est le troisième plus grand générateur de polluants CO2, bien plus que n’importe quel pays à part la Chine et les États-Unis. L’exploration pour le ciment est excessivement destructrice pour l’atmosphère, et l’obtention du sable fin nécessaire à la création du ciment peut également être nuisible et de plus en plus difficile, car la demande dépasse l’offre.
La décarbonisation du processus est extrêmement difficile, car les procédures de substances chimiques utilisées pour créer le béton de ciment émettent du CO2. Plutôt que de réadapter une technologie vieille de plusieurs générations pour la rendre durable, il est vraiment temps d’accepter des alternatives durables et d’étudier d’autres matériaux révolutionnaires. Les entreprises de construction conventionnelles devraient prendre la tête du secteur et tirer parti de leur pouvoir de marché pour promouvoir des composants et des processus durables, dans l’intérêt de tous.
Les règles constituent l’autre obstacle majeur à la croissance des alternatives de construction durable. Comme c’est souvent le cas avec les progrès, la technologie évolue plus vite que les réglementations ne peuvent suivre, et il existe de nombreux niveaux dans le secteur extrêmement réglementé de la construction, notamment les règles de construction à proximité, les permis, les autorités d’inspection respectives et les dispositions des accords. L’amélioration de la situation nécessitera une collaboration entre les régulateurs et les pionniers du secteur, qui devront s’engager activement pour s’assurer que de nombreuses normes sont à jour concernant l’utilisation de matériaux de construction alternatifs fabriqués à l’aide de l’édition tridimensionnelle ou de tout autre moyen. L’expertise technologique des startups peut être plus encline à perturber le modèle commercial conservateur et pourrait finir par être un moteur du développement durable.
La toute nouvelle génération de constructeurs de maisons durables possède les ressources nécessaires pour rendre le secteur de la construction plus écologique. Toutefois, pour accélérer le passage à des logements respectueux de l’environnement, ils doivent s’associer aux régulateurs et aux programmateurs. En fin de compte, l’obtention d’un bâtiment neutre en carbone dépendra des besoins des clients et de la volonté des grands constructeurs d’adopter des options plus écologiques et d’ouvrir la voie à une exécution généralisée.