De nos jours, la capacité de faire un profit en termes de commerce du jour est plutôt nécessaire et c’est pourquoi de plus en plus de gens gardent la foi en ce qui concerne l’Intelligence Artificielle Forex. La précision est très importante en ce qui concerne le trading Forex et c’est pourquoi il est constant de compter sur Forex AI ou Forex Artificial Intelligence. Les gens peuvent s’appuyer sur ce type de technologie pour les aider chaque fois qu’ils se trouvent sur le terrain de négociation à la pression quand il s’agit du commerce Forex, ce qui leur permet de prendre des décisions éclairées plus rapidement. Indépendamment de qui crée les programmes en matière d’Intelligence Artificielle Forex, ils viennent généralement avec des designs et des fonctions similaires. En ce qui concerne ce type de technologie, il serait préférable que vous connaissiez ses antécédents afin que vous puissiez décider si c’est quelque chose qui peut vous aider ou non. C’est toujours une bonne idée d’avoir autant d’informations que vous le pouvez en ce qui concerne les échanges commerciaux de change et c’est pourquoi la formation gratuite est toujours une question à considérer. Le plancher commercial n’est pas un lieu de confusion car le manque de connaissance peut entraîner de multiples pertes. Ne jamais investir une somme d’argent que vous n’avez pas dans ce genre de commerce. Dans ce cas, soyez toujours conscient de l’aspect humain du commerce Forex afin que vous ne finissiez pas sur le côté perdant des choses. Le yen japonais ne sera pas échangé seul en ce qui concerne le marché Forex, mais il existe toujours des paires de devises qui se négocient en ce qui concerne cela. Lorsque les devises sont échangées, les vendeurs veulent les vendre à un prix élevé tandis que les acheteurs sont prêts à les acheter à un prix bas. De cette façon, vous pouvez tirer profit du métier. Les devises sont quelque peu similaires aux parts de marché. Les gains dépendent de la vente élevée et de l’achat bas. Ici, tout dépend du taux de change. Lorsque vous prenez la décision d’acheter ou de vendre, considérez le taux de change. Dans le cas de l’économie d’un pays, les monnaies dominent. Vous pouvez voir l’augmentation de l’économie avec l’augmentation de la valeur de la monnaie. En ce qui concerne le taux de change, c’est quelque chose qui sert à évaluer l’état de toute économie. Vous devez toujours agir en fonction du mouvement des facteurs économiques. Ce que vous devez faire dans ce cas, c’est prendre en considération les facteurs économiques et c’est ainsi que vous allez prendre des décisions éclairées dans le commerce. Il existe un certain nombre de devises différentes qui peuvent être échangées au fur et à mesure que nous parlons du marché Forex, mais ceux qui participent activement à un tel commerce considèrent souvent des devises mondiales telles que l’euro, le dollar américain, la livre sterling et le yen japonais. Une paire à la fois est la façon dont les devises sont échangées. Vous pouvez gagner grand dans ce genre de commerce, mais vous pouvez aussi perdre de gros. Si un cours forex et forex trading sont des choses qui vous intéressent, commencez par être plus sérieux. Les devises de négociation sont une très bonne façon de gagner de l’argent sur le côté. Beaucoup de ceux qui ont réussi dans le commerce de la monnaie sont ceux qui ont pu obtenir l’éducation nécessaire. Si vous avez atteint le niveau des commerçants avancés, vous en profiterez. Pour en savoir davantage, je vous recommande la lecture du blog de l’agence en référencement naturel qui est très bien rédigé sur ce thème.
Les activités des comités durant l’exercice écoulé ont été marquées notamment par le travail du Comité d’audit sur diverses propositions visant à renforcer la capacité financière de la BIRD, l’IDA et la MIGA, et à maîtriser les risques financiers et d’autre nature pour le Groupe de la Banque mondiale. Le Comité du budget a prêté son concours à la mise en oeuvre concluante du processus de budgétisation en forme de « W » et à l’examen des dépenses du Groupe de la Banque, et il a fourni des orientations sur la viabilité financière de l’institution. Le Comité pour l’efficacité du développement s’est penché sur les questions relatives à l’orientation stratégique du Groupe de la Banque et à la qualité et aux résultats des opérations financées par la Banque, notamment la modernisation du cadre environnemental et social de la Banque mondiale, les examens externes du Groupe indépendant d’évaluation, le Plan d’action pour les forêts du Groupe de la Banque mondiale, et le processus d’examen rétrospectif du financement à l’appui des politiques de développement. Les travaux du Comité des questions administratives concernant la gouvernance et les Administrateurs ont porté sur l’élaboration d’une formule dynamique de répartition du capital de la BIRD, dans le cadre de la réalisation de l’Examen de la répartition du capital de 2015. Le Comité des ressources humaines a examiné diverses questions ayant trait à la stratégie du Groupe de la Banque en matière de ressources humaines. Il s’est notamment penché sur les plans de carrière, l’assistance financière, l’architecture des contrats, le personnel employé à court terme, la dotation stratégique en personnel, et la diversité et l’inclusion.
Quelque trois mois après son départ de l’Elysée, François Hollande semble en pleine forme… et d’humeur loquace. Mardi, à l’occasion du 10e festival du film francophone d’Angoulême, l’ex-président a adressé une très médiatique mise en garde à Emmanuel Macron. Et ce cercredi, TV5 Monde a diffusé une courte interview enregistrée, dans lequel le socialiste confirme qu’il ne se retirera pas de la vie politique. « Je ne l’ai d’ailleurs pas dit, à aucun moment » lance-t-il. « Même quand j’ai décidé, pour les raisons que j’avais indiquées, de ne pas me représenter ». Pour lui, « ce n’est pas de la passion. La politique c’est la vie de nos compatriotes, c’est la vie aussi du monde. Je suis passionnément français donc je continuerai à m’exprimer ». Et de poursuivre : « Aujourd’hui, je suis dans une forme de retrait qui est dû au fait que j’étais président il y a encore quatre mois et je ne veux pas compliquer la tâche de mon successeur, et donc je me suis astreint à une réserve, une retenue, que chacun peut comprendre. François Hollande s’est également exprimé sur la question internationale et la montée de l’islamisme en Afrique. « Bien sûr, il y a la nécessité d’être présents avec des forces de sécurité, je considère que ce qui se fait en ce moment est dans la continuité de ce que j’avais engagé, mais il faut aussi apporter d’autres réponses. Une réponse économique contre le sous-développement, une réponse écologique parce que ces régions sont les plus touchées par le réchauffement climatique, et puis des réponses culturelles parce que nous avons besoin d’échanger, nous avons besoin de ne pas avoir peur les uns des autres ».
Dernièrement, je me suis rendu à Edimbourg pour un colloque, et j’ai pu bavarder avec d’autres d’un danger qui me paraît particulièrement affolant de nos jours : les fake news. Car celles-ci sont particulièrement destructrices et ne prêtent pas à sourire, contrairement à ce qu’on pourrait croire. Si elles sont longtemps restées cloîtrées dans les tréfonds d’internet, elles se sont dernièrement très largement répandues : elles ont désormais un large public, au point de pouvoir faire élire un magnat de l’immobilier à la tête d’une grande puissance ! Ce danger a d’ailleurs été discerné par de grandes entreprises telles que Google, qui entend contrôler l’authenticité des informations publiées sur sa plateforme avec le partenariat d’autres rédactions. En juin dernier, nous avons encore eu une preuve flagrante de l’influence des fake news : la NASA a dû combattre l’idée selon laquelle elle enverrait des enfants esclaves sur Mars. Une rumeur colportée par InfoWars. Ce dernier est réputé pour ses théories toutes plus délirantes les unes ques les autres. Alex Jones, son fondateur, est carrément un roi de la fake news. C’est lui qui a notamment assuré le succès de la Pizzagate, une fake news faisant état d’un réseau pédophile impliquant des proches d’Hillary Clinton (une histoire 100% bidon pour laquelle le présentateur a dû présenter des excuses publiques). Cette émission a donc reçu un ancien agent secret qui pensait (ou affirmait, en tout cas) que la NASA avait envoyé des enfants esclaves sur Mars. Il y a dix ans, une théorie de ce genre n’aurait même pas fait l’objet d’une réponse. Mais apparemment, quelque chose a changé : la NASA a choisi de contester ces attaques et répéter qu’aucun homme – et encore moins un enfant – n’a jamais foulé le sol de la planète rouge. Ceci dit, cela arrivera peut-être un jour. Une entreprise américaine voudrait y acheminer les premiers explorateurs aux alentours de 2023. Mais c’est un aller-simple. A part ça, ce colloque m’a bien plu. Voilà quelques photos de l’événement, si vous voulez voir à quoi ça ressemblait. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de l’organisation de séminaire à Edimbourg.
La mode est une machine industrielle mondiale lancée dans une course au produit et au pouvoir. Cet aspect pragmatique peut faire peur, en tout cas, il produit aussi des emplois. Cela dit, les derniers défilés hommes de la fashion week parisienne mettent en valeur un autre aspect des choses : la nature quasi existentielle du vêtement. Au-delà de son côté mercantile et superficiel, il sert aussi à dire qui on est, comment on se sent face au monde et à la société, où l’on s’y situe. C’est complexe et subtil, mais c’est passionnant. Olivier Rousteing, directeur artistique de Balmain, réfléchit aux valeurs historiques de la France et à ses propres origines. Nourrie par ce qui est moins une crise d’identité qu’un élan d’expression de soi, la collection s’inspire du style personnel de son auteur. On retrouve donc son « uniforme » quotidien sur le podium : des vestes tailleurs ¬déclinées en mosaïque de matières luxueuses (cuir, laine, soie, peaux exotiques, motifs fauves, clous) et des pantalons étroits. Avec un parfum de liberté sous influence américaine qui s’exprime dans les boots pointues ou les motifs de drapeau et d’étoiles des tee-shirts aux nuances noires et blanches patinées. Egalement sur scène, les mannequins filles présentent la précollection printemps et chaloupent dans des robes sculptures en dentelles et cuir, perchées sur des cuissardes-collants lacées. Le tout exprime un goût du maximalisme joyeux et populaire. Mais derrière l’éclat baroque existe aussi une forme de résilience, qui consiste à briller pour cacher des failles. Ici se croisent la personnalité du designer et celle de son client, deux figures qui dialoguent toujours, même inconsciemment, dans la mode. Les Suédois d’Acne studios ont choisi d’inverser les codes de ce rapport pour leur présentation : les invités passent par les cou¬lisses et « défilent » sur une scène pour observer les modèles assis sur des rangées de chaises. Les costumes à pantalons extra-amples aux couleurs faussement neutres, les débardeurs et gilets de mailles aux accents rétro et les maxi-manteaux à carreaux traduisent avec subtilitéce bizarre-chic-cool propre à la marque. Et si les vêtements sont assez simples, leurs détails étranges interpellent. Cette complexité inhérente à tout être humain résonne dans la collection de la marque japonaise Sacai. Avec ses mailles irlandaises transformées en blousons, ses pièces qui fusionnent imagerie western et sport, ses constructions acrobatiques et expressionnistes, elle transcrit avec beaucoup de grâce, d’originalité et d’évidence l’esprit en ébullition d’une jeune personne moderne.
Les principales Bourses européennes évoluent en hausse en début de séance mardi après de bons indicateurs d’activité en Allemagne mais leur progression est limitée par le repli des cours du pétrole et par les inquiétudes suscitées par l’attentat de Manchester, qui a pesé sur la livre sterling. À Paris, le CAC 40 gagne 0,51% à 5.350,18 points à 07h45 GMT. À Francfort, le Dax gagne 0,39% et à Londres, le FTSE prend 0,12%. L’indice paneuropéen FTSEurofirst 300 avance de 0,11%, l’EuroStoxx 50 de la zone euro de 0,44% et le Stoxx 600 de 0,11%. La progression des indices s’est accentuée après la publication des premiers résultats des enquêtes mensuelles Markit auprès des directeurs d’achats, ressortis supérieurs aux attentes en Allemagne alors qu’ils ont raté le consensus en France. Les investisseurs surveilleront aussi à 08h00 GMT l’indice mensuel Ifo du climat des affaires en Allemagne. L’institut d’études économiques DIHK a par ailleurs relevé sa prévision de croissance 2017 pour l’Allemagne à 1,8% contre 1,6%. Sur le marché des changes, les PMI allemands profitent à l’euro, qui gagne 0,19% face au dollar à 1,1257, poursuivant sur sa lancée de la veille après les propos de la chancelière allemande, Angela Merkel, le jugeant « trop faible » à cause de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE). La livre sterling, elle, a dans un premier temps fléchi face au dollar et à l’euro après l’attentat de Manchester, qui a fait 22 morts selon le dernier bilan officiel publié, avant de regagner du terrain. Elle reste toutefois en baisse de près de 0,3% face au yen. L’explosion qui a eu lieu lundi soir à la sortie d’un concert de la chanteuse pop américaine Ariana Grande à Manchester semble être un attentat suicide selon la police. La campagne des législatives du 8 juin est suspendue après cette attaque, la plus meurtrière au Royaume-Uni depuis 2005. La réaction des marchés financiers a jusqu’à présent été mesurée. En Asie, la Bourse de Tokyo a fini sur un recul de 0,33%, pénalisée entre autres par les valeurs du transport aérien et du tourisme (-1,73%) après l’attentat, qui fait craindre des répercussions sur l’activité du secteur. L’indice Stoxx européen du tourisme et du transport aérien recule de 0,12% mais EasyJet et Ryanair évoluent dans le vert. Plus forte hausse de l’indice Stoxx 600, Nokia gagne 5,98% après l’annonce d’un accord avec Apple qui met fin à leur litige sur un portefeuille de brevets et lui assure des revenus supplémentaires. Vivendi prend de son côté 2,7% après les déclarations au Wall Street Journal de son président du directoire, Arnaud de Puyfontaine, sur la possibilité d’une mise en Bourse d’Universal Music Group. A la baisse, le secteur des matières premières abandonne 0,7% avec la baisse des cours des métaux et du pétrole. Le Brent et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) perdent en effet l’un comme l’autre autour de 0,8%, la perspective d’un accord entre pays producteurs jeudi pour reconduire l’encadrement de la production étant éclipsée par la proposition du président américain, Donald Trump, dans son projet de budget de vendre la moitié des réserves stratégiques de brut des Etats-Unis sur une période de dix ans. « Ce n’est pas énorme mais ça n’aidera pas les Saoudiens dans leurs efforts », commente Oystein Berentsen, directeur exécutif du courtier spécialisé Strong Petroleum à Singapour, qui estime qu’un tel plan équivaudrait à mettre sur le marché une moyenne de 95.000 barils par jour d’ici 2027. Lundi, Wall Street a fini en hausse, le Dow Jones prenant 0,43% et le Nasdaq 0,82%, grâce principalement au soutien des valeurs technologiques et de celles de la défense. Faisant exception à la tendance générale à la hausse en Europe, la Bourse d’Athènes perd plus de 1,8% au lendemain de la réunion de l’Eurogroupe, incapable de conclure un accord sur le versement d’une nouvelle enveloppe d’aides financières et sur un allègement du fardeau de la dette publique.
Vous vous êtes déjà fait la réflexion, en vous retrouvant au beau milieu d’une parfumerie, que le parfum de vos rêves n’n’a pas encore été conçu ? Moi, si. Si j’ai expérimenté divers parfums au fil des années, je n’ai jamais trouvé celui qui me correspond vraiment. Mais il existe un moyen très simple de parer à cette carence : mardi dernier, j’ai réalisé mon propre parfum ! Des ateliers de parfum permettent en effet de rentrer chez soi avec sa propre création. J’ai vécu cette animation passablement curieuse à Paris. Concevoir son parfum s’est avéré un peu plus dure que ce à quoi je m’attendais. Je vous laisse imaginer la scène. Dès mon arrivée, je me suis retrouvé devant un orgue à parfums » : il s’agit d’une sorte de bureau composé d’étagères, où attendent plus de 120 bouteilles qui contiennent chacune une odeur. Et il vous faut toutes les sentir pour produire votre propre parfum ! C’est qu’un parfum combine quelques 100 essences. Pour l’atelier, on n’en heureusement évidemment qu’une vingtaine, mais cela exige déjà beaucoup de boulot. Car ça ne se fait pas au hasard. Tout parfum la conjugaison de 3 notes : celle de tête, de coeur, et de fond ; et elles doivent s’équilibrer entre elles. Et chaque odeur doit être associée en prenant soin des dosages ; elle doit être soigneusement notée pour conserver la trace de la recette (c’est grâce à cette recette qu’on peut en recommander par la suite. Au final, le parfum créé peut vraiment être épouvantable, si on n’y prend pas garde. C’est d’ailleurs pour ça qu’on dispose de trois essais pour repartir avec le meilleur ! Le plus important, je pense, ce n’est pas tant de composer que de perdre le contrôle. Lorsqu’on est trop cérébral, on se prive de certains cocktails. Pour prendre un exemple, j’aurais eu tendance à délaisser les fleurs puisque je voulais réaliser un parfum pour homme. Mais comme me l’a appris le maître-parfumeur, les fragrances de fleurs ne donnent pas forcément une note végétale au parfum. Elles peuvent donner une touche poudrée, piquante, épicée ! Il vaut donc mieux laisser faire son nez pour identifier la note qui les définit. C’était une expérience que je conseille. On est beaucoup plus attentif aux fragrances, après ça. Quant à moi, je suis curieux de savoir ce que donnera mon parfum : je dois laisser reposer dix jours avant de l’utiliser. Je suis impatient de connaître l’effet qu’il va faireEncore plus d’information sur ce cet session pour créer son parfum.
Le scénario tant redouté par les services antiterroristes, celui d’un d’attentat majeur en pleine campagne pour la présidentielle, a été évité de justesse. Si de nombreuses questions demeurent, une certitude se dégage après l’interpellation, par la DGSI et le Raid, de deux hommes mardi, à Marseille, dans le cadre d’une enquête ouverte le 12 avril par le parquet de Paris pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et infraction à la législation sur les armes en relation avec une entreprise terroriste. Au vu de l’arsenal découvert dans l’appartement «conspiratif» loué dans le IIIe arrondissement, ces deux islamistes avaient tout le nécessaire pour commettre un véritable carnage. Mahiedine M., 29 ans, et Clément B., converti âgé de 23 ans et empruntant l’alias d’un islamiste tchétchène, étaient respectivement connus pour douze et deux faits de droit commun et radicalisés à la prison de Lille-Sequedin où ils ont partagé la même cellule et avaient récemment été fiché «S». Ils avaient confectionné du TATP, explosif artisanal surnommé la «veuve de Satan», et notamment par ceux qui ont frappé Paris et Saint-Denis le 13 novembre 2015. Détail glaçant: ce TATP, trois kilos au total, était en train de sécher à des stades différents sur trois étagères quand les policiers ont fait irruption dans l’appartement. Une partie était prête à l’emploi. Avec précision, le procureur de la République François Molins a détaillé ce laboratoire clandestin abritant de l’eau oxygénée, de l’acétone, de l’acide sulfurique, des seringues, une grenade artisanale, des mèches, ou encore des tenues de chimistes. Un attirail qui confirme que les deux hommes, comme l’a précisé mardi le ministre de l’Intérieur, Matthias Fekl, étaient prêts à perpétrer un attentat.
Vendredi dernier, j’ai exécuté un vol en hélico dans le ciel de Lyon. Je n’avais encore jamais grimpé à bord d’un tel appareil, pour le coup, et je suis tombé sous le charme. C’est assez hallucinant, de survoler la Terre en toute liberté ! Mais ce qui m’a réellement grisé, je pense, c’est l’appareil sur lequel j’ai embarqué. C’est quand même singulier, que des individus aient pu penser un truc comme l’hélicoptère !L’homme est une créature incroyablement prolifique. Mesurez ce qu’il a pu imaginer en deux siècles à peine : l’avion, le téléphone, ou encore l’hélico. On est en droit de se demander où nous en serons d’ici cinquante ans. Enfin, si nous sommes encore là, bien sûr. Parce que l’homme est également parvenu, en deux siècles, à créer un continent entier de plastique, à causer un changement climatique majeur, et à mettre sa propre vie en danger avec l’arsenal nucléaire. Je ne parierais pas trop sur lui, en fait. Dans les faits, cette imagination dont il fait preuve est malheureusement employée pour dominer. Le nucléaire est dans ce domaine un exemple frappant : il a été étudié dans l’espoir de devenir une source d’énergie. Les chercheurs souhaitaient améliorer la vie des gens. Mais il s’est véritablement imposé quand il a été financé pour créer la fameuse bombe H. La volonté de départ peut être excellente, mais dès qu’un investisseur apparaît, les cartes sont entièrement rebattues. Les chercheurs élaborent des technologies nouvelles, mais ceux qui les exploitent s’occupent surtout de gagner au maximum : ils sont donc moins regardants quant aux répercussions à moyen terme ; c’est le rendement à court terme qui compte. Ca ne manque pas de saveur, quand on y pense : la science oeuvre dans l’espoir d’obtenir un monde meilleur, mais ceux qui font une réalité de ses innovations peuvent obtenir l’exact contraire ! Toujours est-il que je vous invite à essayer le vol en hélico : ce n’est que du bonheur. Vous pouvez en apprendre plus sur ce site qui vous propose ce baptême en hélicoptère.
Sur une initiative de DroiteLib – mouvement libéral fondé par Virginie Calmels, proche d’Alain Juppé –, plus de 200 jeunes engagés dans la primaire de la droite et du centre, juppéistes, sarkozystes et lemairistes, s’associent à des soutiens d’Emmanuel Macron pour signer une tribune et dénoncer le projet de Jean-Luc Mélenchon. Un programme qu’ils jugent rétrograde et dirigiste.
Jean-Luc Mélenchon attire tous les projecteurs sur lui. Après l’indéniable succès de son meeting de Marseille, d’aucuns évoquent désormais sa potentielle victoire à l’élection présidentielle française. Ce qui était, il y a quelques semaines encore, de l’ordre du fantasme pourrait devenir réalité, consacrant le tribun d’une gauche radicalisée au rang de chef d’État de la cinquième puissance mondiale. Pourtant, derrière ses talents d’orateur et l’énergie qu’il dégage, Jean-Luc Mélenchon est tout sauf le candidat de la jeunesse et de la modernité. Il est le candidat de ces vieilles lunes socialistes qui ont marqué le XXe siècle. Il est, comme Marine Le Pen dans un autre registre, le candidat de tous les nostalgiques. Le candidat d’un parti qui ose se revendiquer d’une idéologie, le communisme, dont les concrétisations passées auront été si meurtrières. Le candidat des hommages réguliers à Chávez, Castro et autre Maduro, ces dictateurs qui n’ont cessé d’affamer ou de maltraiter leur peuple.
Certains d’entre eux – refusant d’enlever leurs œillères – nous accuseront d’extrapoler sa pensée et de tomber dans la caricature facile. Fort bien. Intéressons-nous donc, précisément, à son projet. Il faut savoir que les nouvelles dépenses envisagées par Jean-Luc Mélenchon sont évaluées à 273 milliards d’euros qui ne pourront être financés par l’emprunt, faute de prêteurs. Le candidat d’extrême gauche n’aura donc d’autre choix que de recourir massivement à la fiscalité : de la hausse de l’impôt sur le revenu à celle de la fiscalité des entreprises, M. Mélenchon rêve d’un grand soir de la folie fiscale. Une politique qui fera fuir les investisseurs et donc, en vertu d’un principe maintes fois constaté, diminuer les recettes, sauf à confisquer l’épargne des Français. Cette dernière option n’est malheureusement plus à exclure lorsqu’on confie son pays à un homme qui ne renonce à aucune dérive dirigiste pour construire sa société idéale.
En effet, même lorsque Jean-Luc Mélenchon propose des mesures d’économies, celles-ci sont privatives de libertés : la fin des subventions aux écoles privées empêcherait ainsi des millions de Français de choisir librement l’école de leurs enfants. Autre exemple : le retrait des aides à la presse pour les médias qui ne seraient pas « des médias d’information politique et générale » laisserait libre cours à l’arbitraire d’une puissance publique de nature à nous inquiéter.
Au-delà des questions budgétaires, le problème est donc bel et bien philosophique et moral : c’est celui de la préservation de nos libertés. Voulons-nous d’un dirigeant autoritaire pour qui l’État est la solution à tous les maux ? Voulons-nous d’un président qui considère que sa vision du bonheur doit s’imposer à tous ? Nous n’avons nul besoin des hommes politiques pour guider notre vie et nous imposer un carcan qui nous rapprocherait davantage de la France du XIXe qu’il nous en éloignerait. Une société où l’on travaille moins, où l’on prend des congés et où l’on part à la retraite simplement parce que la loi l’exige, ce n’est pas un paradis, c’est une prison dans laquelle l’égal partage de la misère est préféré à l’inégal partage de la richesse. Une prison isolée du monde, où, de nationalisation en nationalisation, de mesure protectionniste en mesure protectionniste, l’État deviendra le seul employeur du pays, écartant toute forme de concurrence et de remise en question de ses monopoles.
Jeunes, attachés à la liberté.
Battons-nous pour éviter à la France de s’isoler en défendant ardemment le libre-échange.
Battons-nous pour éviter à la France de détruire son économie en garantissant la liberté d’entreprendre.
Battons-nous pour éviter à la France de chercher à nous rendre heureux en exigeant simplement qu’elle se borne à être juste.
Battons-nous pour une France de la liberté.
Les principaux signataires :
Alexandre Fongaro, Cofondateur DroiteLib. Sacha Benhamou, Référent départemental Les Jeunes avec Macron – Isère. Mathieu Le Cossec, Cofondateur DroiteLib. Diane Zeitoun, Responsable des jeunes LR 92, élue Courbevoie. Tristan Atmania, Responsable UDI Moselle-Est. Quentin Chollet, Vice-président LR Sciences Po Paris. Candice Foehrenbach, Référente Jeunes avec Macron Essonne. Erik Tegnér, Responsable jeunes DroiteLib. Christophe Seltzer, Coordinateur national / Students for Liberty en France. Thierry Tsagalos, Responsable d’un comité En marche !. Gabriel Deligny, Responsable des jeunes avec BLM Languedoc-Roussillon. Kevin Duvivier, Référent NKM Seine-Maritime. Arthur Laurençon, En marche !. Christine Samandel, Président Think Libéral Sciences Po Paris. Rafaël Amselem, Coprésident #HackLaPolitique. Maxence Lemasson, Reponsable des Jeunes Républicains 5e circonscription Pas-de-Calais. Charles Givadinovitch, Secrétaire général Les Progressistes, Élu à Maisons-Laffitte. Loïc Lebrun, Ancien Responsable Comité Jeunes Avec Juppé Sambre Avesnois. Matthieu Gariel, En marche !. Abel Melman, RDJA Paris NKM. Samuel Chapelle, Responsable-adjoint UNI Nanterre. Lucas de Rouvray, Responsable com’ DroiteLib. Oscar Boiteux, En Marche. Hugo Hervieu, Responsable des Jeunes Républicains 3ème circonscription de l’Eure. Thomas Harbor, Think Libéral Sciences Po / European Students for Liberty. Thomas Buisson, Responsable Les Républicains – Sorbonne. Paul Zein, En Marche. Yama Darriet, Contributeur à la veille et l’analyse Droite Lib. Florian Cronier, Responsable de la 8eme circonscription jeunes républicains du 92. Léo Garcia, Responsable Départemental des Jeunes Republicains de l’Ariège. Frédéric Jollien, Membre des jeunes libéraux radicaux suisse. Hugo Lhermite, Ancien animateur Jeunes avec Juppé. Louis Nauwelaerts, Coordinateur Student For Liberty Nanterre. Salomé Petremand, Déléguée Centrale des Jeunes de la Droite Populaire. Jean-Charles Vitaux, Délégué circonscription LR Somme. Louis-Charles Wiart, RDJA Les Républicains. Quentin Kermen, Conseiller National (LR). Antoine Goulard, Responsable des Jeunes Républicains des Côtes-d’Armor. Antonin Garré, Ancien délégué Jeune LR. Arthur Chaboute, Les Républicains, Students for Liberty, UNI. Thomas Boucher, Référent de circonscription LR. Augustin Bœuf, Délégué National des Jeunes Républicains. Baptiste Drouilhet, Responsable Réseaux Jeunes Droitelib. Maxime Viens, Student For Liberty. Samuel Tamba, Jeunes avec Fillon. Olivier Roques, Equipe com’ DroiteLib. Maxime Le Pendeven, Conseiller national LR. Charles Bosselut, Responsable-adjoint des Lycéens Républicains de Paris. Louis Bauer, Equipe com’ DroiteLib. Alexandre Colin, Contributeur à la veille et l’analyse DroiteLib. Guillaume Moukala Same Think, Libéral Sciences Po Grenoble et SFL (Nancy). Gonzague de Chantérac, Conseiller national LR.